La Normandie

Depuis quand j’étais toute petite, ma mere m’a raconté les histoires des étés qu’elle avait passées en Normandie quand elle avait jeune. Elle est nee là-bas et pour quinze ans, elle y est allée pendant les vacances scolaires avec sa grande famille. La famille possédait un petit cabanon jusqu’à cote de la mere. J’imagine que ma mere avait des aventures fantastiques pendant ces séjours. De toutes les histoires qu’elle raconte, je préfère laquelle où elle tombait amoureuse d’un garçon qui avait quatre ans plus âgés qu'elle. Je suppose qu’elle avait à peu près quatorze ans cet et où elle s’est rencontré ‘Jil.’ Pour tout l’été, sa famille ç’a moqué à cause de son obsession. À la fin d’été, son père a dévoilé sa confidance à Jil. Je ne crois que rien et arrive, mais ma mere nous jure que ça c’était la dernière fois qu’elle était si envoutée d’un garçon. Quand elle avait seize ans, ses parents sont morts et ses frères ont vendu le cabanon.

 Pendant ces dix ans ma mere parlée toujours de rentrer à Normandie avec toute la famille. On a la famille partout, et elle n’est pas vraiment proche. Je pense qu’elle voudrait avoir une grande réunion de la famille. Même si une grande réunion n’est pas possible, je voudrais essayer d’organiser un voyage pour ma famille immédiate. Peut-être on le fera quand j’ai des enfants de la mienne... on verra!

Quand on est petit, tout le monde parle de la découverte de l’identité. Dans toutes les cultures d’histoire, on attend parler des histoires des jeunes qui grandissent et se découvrent. Les personnages dans ces livres éprouvent une grande aventure, et à la fin ils se découvrent. À mon avis, l’identité est plus compliquée que ça. Il y a des parties de nos identités qui ne changent jamais. Par exemple, je pense qu’une grande partie de mon identité est le fait que je suis une soeur. En fait, je m’identifie par tous les relations dans ma vie. Donc, qu’est-ce qui se passera quand je perdrai des amis, ce qui est certain de se passer dans une vie. Peut-être des gens s’identifient par leur travailler. Évidemment, s’ils changent leur boulot, il perdra une partie de leur identité. À mon avis, l’identité est en train de changer tout le temps, puisque nous, les humains, est en train de changer tout le temps.

Bernard Devauchelle

En 2005, Bernard Devauchelle, un professeur français, a réussi à créer le premier greffe du visage au monde. Il travaillait pendant des ans avec 5 autres professeurs et médecins avant de réussir. La première fois qu’ils ont préformé la chirurgie avec suces était pour une patiente qui avait perdu son visage après que son chien a essayé de la rêvailler après une tentative suicide. À peu près un an après l’opération, elle pouvait à nouveau manger, parler, et sourire. Aujourd’hui le greffe de visage, le nom de cette opération médicale qui tente de reconstruire le visage, est utilisé pas seulement en France, mais autour le monde. L’opération est utile particulièrement pour aider les victimes de brulures. Le greffe du visage était une découverte incroyable pas seulement pour le monde de la science, mais pour tous les victimes des catastrophes qui les ont rendu endommagés.

Ma Relation avec L'université

Jusqu’au moment quand je suis arrivée à Newton North, tout ce que j’entendais était à propos de l’université. Chaque fois qu’un professeur ou une étudiante voulait convaincre quelqu’un de joinder une organisation ou de prendre un cours, il fallait seulement dire que cette chose “semble très prestigieuse ou bonne dans les yeux des universities.” Il me semblait que tous ce qu’on faisait au lycée étaient pour la preparation pour l’université, pas pour la joie d’apprendre. Je pense que jétait enveloppé dans cette mentalité jusqu’à cet anné. Je croyait que je devais m’inscrite dans une des plus prestigieuses universités, et que la clef d’une vie heureuse restait dans l’université qu’on decide de s’iscrite. Maintenant je me suis rendu compte que ce n’est pas le cas. La valeur de quelqu ne reste pas dans l’université qu’il choisit. La vie est longe et il y a une million des façons qu’on peut vivre, pas seulement une moyenne. Au lycée, l’université est complètement idiolisé. Il y a une croyance que les quatre ans à l’université sont les plus bonnes ans de la vie, mais j’espère que ce n’est pas le cas. J’ai l’intention de vivre une vie plien d’aventures. J’ai vraiment hate d’y aller, mais je suis aussi contente que j’ai decié de prendre un an à faire quelque chose en dehors des études. En conclusion, ma relation avec l’université est complicé, mais j’ai hate de le rencontrer finalement.

Ma relation avec Mon cellulaire

Moi, je n’ai pas une IPhone ou un smart phone. J’ai reçu mon premier cellulaire quand j’avais treize ans. Les trois cellulaires que j’avais pendant ce temps étaient de ma mere ou de ma soeur. Quand même, je mets beaucoup d’importance sur mon cellulaire. Je l’utilise pour un réveille-matin et j’envoie des textos tout le temps. Je ne pense pas que je l’utilise dans la même façon que tous mes amis. Pour beaucoup des gens, leur cellulaires ‘smart’ sont leur connections avec le monde. Quand ils les oublies un jour chez eux, (si ça jamais arrive), c’est comme la fin de la vie. Moi, j’oublie mon cellulaire tout le temps et ce ne me derange trop. Je ne veux pas dire qu’une situation est mieux que l’autre, ils sont différents.

J'utilise mon cellulaire beaucoup pour appeler aux gens. Par example, Je téléphone à ma soeur trois fois par semaine, et souvent je passe beaucoup de temps pendant les weekends en parlant aux amis qui vivent très loin de moi.

Parfois je pense à acheter un ‘smart phone’, mais je ne suis pas sure que ce sera sain pour moi. J’ai un caractère très addictif, et je suis sure qu’un Iphone ne m’aidera pas à organiser mes temps.

En conclusion, Je suis contente avec mon téléphone bête.